« Au temps abstrait de la loi, fait écho le temps vécu de la personne emprisonnée, prévenue ou condamnée. Temps sans doute vécu différemment selon les consciences et les déterminants sociaux, mais temps imposé aussi par les rythmes de la vie pénitentiaire. Comment caractériser ce temps-là et comment l’inscrire dans la continuité de chaque existence, avant et après la prison ? »
Tel est le projet de cet article Continuité et discontinuité de la condition pénitentiaire de Jean-Marie Delarue paru dans la revue du MAUSS, 2012/2 – n°40, p.73 à 102